<center><div class="FCH1"><div class="FCHtop"> <img src="#LIEN IMAGE 645*140"><div class="FCHpseudo">Pseudo du joueur</div></div><div class="FCHleft"><div class="barre"></div><img src="#LIEN ICONE 100*100" class="minicon" style="margin-right:10px;"><img src="#LIEN ICONE 100*100" class="minicon"><img src="#LIEN ICONE 100*100" class="minicon" style="margin-right:10px;"><img src="#LIEN ICONE 100*100" class="minicon"><div class="GENcontent" style="margin-top:5px;"><div>Nom
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chemin / commentaire ?
</div></div></div><div class="FCHright"><div class="FCHcita">P'tite citation oklm.</div><div class="FCHcontent"><div class="FCHtitre">TITRE 1 - PHYSIQUE</div><div class="descri">Le physique de votre personnage. 250 mots minimum.</div></div><div class="FCHcontent"><div class="FCHtitre">TITRE 2 - CARACTERE</div><div class="descri">La psychologie de votre personnage. 250 mots minimum.</div></div></div>
<div class="FCHbottom"><div class="FCHtitre">TITRE 3 - HISTOIRE</div><div>J'accumule deux torts. Premièrement : je n'ai pas réussi à esquiver. Deuxièmement : je n'aurais jamais dû sortir à mon adversaire qu'il avait la dégaine d'un patron de donjon SM. Je ne regrette rien, j'aurais juste dû anticiper cette réaction violente de la part de mon frangin. Tout dans sa douceur, sa main légère comme une plume.
- Barre-toi, pour de bon. Ta place n'est plus ici.
- Si Père était encore vivant, tu ne serais pas....
Il me coupe la parole. Quel manque de savoir-vivre...
- Mais il est mort, et tu connais les règles. C'est l'aîné qui obtient le droit à la succession du dojo. Et, par conséquent, il devient ma propriété. J'ai jamais pu te blairer...
Merci pour cette précision, je n'étais pas au courant.
- T'iras faire des machins avec tes doigts et tes mains ailleurs. T'as qu'à ouvrir un cabinet d'acnépuncture, puisque tu t'adores ça.
Acupuncture, crétin.
- Il est temps que ce dojo ressemble vraiment à un espace réservé aux arts martiaux.
- Ton problème, très cher, est que tu n'as jamais réussi à comprendre la délicatesse de l'art enseigné par notre Père.
Sûrement prévenue par le bruit, notre mère arrive et constate la scène. Elle garde le silence, son regard passe de ... à moi. Mon frère debout sur le seuil du dojo, frappant ses poings l'un contre l'autre, provocation gratuite en recherche de bagarre.
Son frère à terre, redressant mon buste pour m'asseoir, puis prenant appui sur le sol pour me relever.
Je conserve calme et sourire et je chasse d'un revers de la main le sang qui coule à la commissure gauche de mes lèvres.
Je me tourne ostensiblement vers ma mère.
- Et bien, oka-san, n'est-ce point à vous de trancher cette situation ? En tant qu'épouse du Sensei ... .... et mère de ses enfants, n'êtes-vous pas devenue garante de la Règle ?
Bien que déjà petite, je la trouve plus rabougrie que d'ordinaire. Cliché ambulant de la femme japonaise médiévale, soumise aux hommes, marchant deux mètres derrière, ne prenant aucune décision. Surtout pas.
- En effet, je suis garante de l'héritage du dojo de votre père. Tu connais donc la règle : en cas de décès du maître, c'est l'enfant aîné qui prend cette responsabilité.
- Cela envisage-t-il aussi le fait que je sois mis à la porte de ma maison ?
- La maison est la dépendance du dojo, ton frère est seul à décider de ses habitants.
Réponse gratifiée d'une inclinaison du buste qui a deux conséquences : me faire une belle jambe et réveiller à ma mère un lumbago. S'incliner jusqu'au sol ne compense en rien de ce qui m'arrive. Me voilà banni de ma maison, là où j'ai vécu et grandi jusqu'à ce jour, par mon abruti de frère et ma docile mère.
Pour m'encourager à partir, tout en osant une dernière provocation infantile, ... me fait l'équivalent adulte du tirage de langue, soit un magnifique doigt d'honneur.
Je ne perds pas mon sourire pour autant. Au contraire, j'éclate de rire en posant une main sur mon front, levant la tête vers le ciel, le genre de réaction à laquelle on ne s'attend en général pas quand on est foutu dehors et qu'on vient de se faire humilier par un grossier personnage. Le fou-rire me saisit même à tel point que je me plie en deux, à me gondoler comme un fou. Ma mère ne bronche pas (je l'ai bien dit, cliché de la femme japonaise), du moins plie-t-elle un sourcil d'étonnement. Mon frère commence à rire, sûrement contaminé, avant de m'interroger sur la raison de mon comportement. Je couple le rire aux larmes. Il s'énerve et réitère sa question ; même réponse. Fou de rage, il se précipite vers moi pour m'infliger une punition pour mon insolence.
J'attends qu'il soit assez près pour plier un genou à terre, avec une vélocité qui le surprend assurément. La jambe tenant en équilibre faucha le ménisque droit du colosse, à son tour obligé de s'agenouiller. Je me relève lestement et lui assène un ensemble de touchers, d'une seule phalange, au niveau du cou, de la mâchoire, du torse. De la bave sort de sa bouche, il s'écroule sur le flanc, paralysé.
Je pousse un soupir sonore, expression d'un regret totalement fictif et purement sarcastique. Je m'accroupis à côté de lui, plantant mes yeux face aux siens.
- Je sais pertinemment que tu me vois et que tu m'entends. JE n'ai pas paralysé tous tes méridiens. Puisque la Règle du clan ... veut que l'aîné reprenne le dojo avant que Le Combat Décisionnaire n'aie eu lieu, pour cause de décès du Maître, que sera sera. Je vais partir d'ici, je vais monter un cabinet d'Acupuncture et je ne remettrais jamais les pieds ici. Mais ne trouves-tu pas ironique que le Grand Héritier du Dojo ... se soit fait battre par une technique réalisée seulement avec seulement ce doigt ?
Et je lui présente, bien en face de ses mirettes, mon majeur bien dressé vers le ciel.
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Il était une fois... Les récits qui commençent par cette introduction finissent bien.... ou parfois mal. ils peuvent aussi inspirer l'ennui. C'est au récepteur de décider s'iil souhaite continuer ou non au delà de ces quatre mots.
Il était une fois, des pays
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